Vraisemblablement, le parlement n’entend pas agir avec la transparence requise, comme c’était le cas de ses prédécesseurs de 2011, 2014 et 2019.
Il a commencé par interdire l’accès aux journalistes à ses deux premières réunions et continue encore à leur interdire l’accès au hall du rez-de-chaussée là où ils rencontrent les députés et obtiennent des informations croustillantes.
Avec cette interdiction du direct, le parlement franchit un cap supérieur dans la censure et l’absence de transparence.
D’après nos premières observations et les premiers échos nous parvenant du Bardo, il y a un grand risque que le parlement actuel soit pire que les précédents en matière de discipline. La solution est donc toute trouvée pour son président Brahim Bouderbala, c’est d’interdire le direct afin de ne pas étaler le linge sale devant le public.